Ayant eu l'occasion de voir le président en 2011, donc avant son élection, je peux dire que les trublions de l'opinion (ou les fameux anarchistes) ont joué constamment aux échecs contre les intérêts de la Tunisie. Les instruments du crime (ça va vous faire sourire) sont la corruption, la traite d'humains, la torture, le pillage de ressources. Le gouvernement est sur la sellette, La classe politique est traître (ne manquant pas d'hommes dignes et autres crapules), la société civile est corrompue (tenue par la mafia et les courants fondamentalistes), mais le président sait sur qui compter et il a beaucoup de fidèles. Les élections municipales, avant leur tenue, ont démontré que le tunisien cherche son équilibre face au risque de séparation au sein de la nation comme au niveau régional. Attention ⚠, la Tunisie a la bénédiction de ses saints-père et le pays n'est pas vendre.
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