Deux membres des forces de sécurité viennent de tomber dans la région de Gbollat dans le nord tunisien aprés une attaque perpétrée par des terroristes dont l'origine est inconnue. Ces deux décès ont susciété le choc et l'émotion au sein des tunisiens et ont rappelé que la guerre contre le terrorisme est loin d'être terminée. Mais peut on dire que la Tunisie fait assez dans la lutte contre les extrémistes ?
Les activités terroristes en Afrique du Nord et dans le Moyen-Orient ont repris de plus belle aprés la mise en ligne d'un film portant atteinte à la religion musulmane qui a créé un déclic au sein d'Al-qaida pour perpétrer de nouveaux crimes. En Tunisie, l'indignation de certains fanatiques est allée jusqu'à attaquer l'ambassade américaine, mollement condamnée par ailleurs par les autorités en place. Depuis ces attaques, plusieurs acyes terroristes contre les forces armées se sont produits. Ce genre d'évennements est de nature à laisser penser que la Tunisie post 14 Janvier est le lieu choisi pour l'installation d'une succursale du terrorisme international.
Cette tunisie révolutionnaire est désormais à la recherche d'une nouvelle constitution oubliant ontexte régional et international. L'élite tunisienne est prise par l'euphorie du succés de la révolution dans un pays qui est demeuré stable et qui a repris doucement le chemin de la croissance économique. Pour prendre un exemple, les tweets de la philosophe Olfa Youssef sont éloquents de la passion de certains pour la chose politique placée au dessus des débats de fond pourtant critiques pour le destin du pays.
La pauvreté des débats sur l'extrémisme et sa place dans la Tunisie post-révolutionnaire n'a fait qu'empirer les choses. Des milliers de jeunes se sont embarqués vers la Syrie au nom du Jihad pour libérer, les fréres syriens du joug du tyran mais ces départs me font penser qu'il faut davantage de moyens militaires et économiques pour combattre l'extrémisme et que le pays court un grave danger s'il ne réagit pas de sitot.
Les activités terroristes en Afrique du Nord et dans le Moyen-Orient ont repris de plus belle aprés la mise en ligne d'un film portant atteinte à la religion musulmane qui a créé un déclic au sein d'Al-qaida pour perpétrer de nouveaux crimes. En Tunisie, l'indignation de certains fanatiques est allée jusqu'à attaquer l'ambassade américaine, mollement condamnée par ailleurs par les autorités en place. Depuis ces attaques, plusieurs acyes terroristes contre les forces armées se sont produits. Ce genre d'évennements est de nature à laisser penser que la Tunisie post 14 Janvier est le lieu choisi pour l'installation d'une succursale du terrorisme international.
Cette tunisie révolutionnaire est désormais à la recherche d'une nouvelle constitution oubliant ontexte régional et international. L'élite tunisienne est prise par l'euphorie du succés de la révolution dans un pays qui est demeuré stable et qui a repris doucement le chemin de la croissance économique. Pour prendre un exemple, les tweets de la philosophe Olfa Youssef sont éloquents de la passion de certains pour la chose politique placée au dessus des débats de fond pourtant critiques pour le destin du pays.
La pauvreté des débats sur l'extrémisme et sa place dans la Tunisie post-révolutionnaire n'a fait qu'empirer les choses. Des milliers de jeunes se sont embarqués vers la Syrie au nom du Jihad pour libérer, les fréres syriens du joug du tyran mais ces départs me font penser qu'il faut davantage de moyens militaires et économiques pour combattre l'extrémisme et que le pays court un grave danger s'il ne réagit pas de sitot.