Personne n'ignore que les hommes d'affaires tunisiens ont pris la direction du maroc pour poursuivre leurs activités après la révolution. Personne ne connaît le montant exacts de ces récentes investissements mais certains médias avancent la somme de 500 millions d'euros. Je sais que vous êtes étonnés par le chiffre mais tandis que les tunisiens croupissent dans le chômage et la misère , d'autres préfèrent placer leurs argent dans des endroits surs.
Le ministre du développement et de l'investissement yassine brahim a beau dire que l'économie retrouve son dynamisme d'ici peu mais l'investissement intérieur reste atone pour ne pas dire mort cliniquement. MAis pourquoi cet investissement est bloqué ? et bien tout simplement parce qu'un lobby révolutionnaire (qui représente une frange minoritaire de tunisiens) refuse la réconciliation avec les hommes des affaires qui se sont enlisés dans des affaires de corruption avec l'ancien régime avant la révolution.
Le leadership tunisien actuel est conscient du problème et redouble d'efforts pour trouver une solution mais des groupuscules d'opposants insistent pour extirper les corrompus.
Le maroc est un beau pays où il y a du travail, mieux encore l'économie de ce pays continue à attirer les investissements extérieurs dont notamment le projets allemand de développement des énergies renouvelables dotes de plusieurs centaines de millions d'euros.La Tunisie de son conté fait confiance à un parlement qui ronfle carrément et qui n'a aucun sens des priorités: ainsi on vote pour l'élection d'une instance nationale de lutte contre la torture au lieu d'accélérer la lecture des projets de lois en rapport avec les projets bloqués notamment ceux ayant un impact directs sur l'emploi (ceci est plus important que cela au regard de certains).
400 hommes d'affaires tunisiens seraient partis au maroc depuis la révolution et le résultat pourrait être une catastrophe pour l'économie tunisienne particulièrement si les grands groups tunisiens commencent à regarder de ce coté là du maghreb alors où va le monde ? Mais ce choix est compréhensible dans la mesure où le maroc est un pays stable en sécurité et où il existe des facilitations administratives et autres avantages financiers (suffisant pour attirer des groupes désireux faire fortune).
Depuis l'indépendance, la Tunisie a suivi une politique d'ouverture économique sur des étapes mais peine actuellement à sortir de la crise. Alors y-t-il un sauveur ?
Le ministre du développement et de l'investissement yassine brahim a beau dire que l'économie retrouve son dynamisme d'ici peu mais l'investissement intérieur reste atone pour ne pas dire mort cliniquement. MAis pourquoi cet investissement est bloqué ? et bien tout simplement parce qu'un lobby révolutionnaire (qui représente une frange minoritaire de tunisiens) refuse la réconciliation avec les hommes des affaires qui se sont enlisés dans des affaires de corruption avec l'ancien régime avant la révolution.
Le leadership tunisien actuel est conscient du problème et redouble d'efforts pour trouver une solution mais des groupuscules d'opposants insistent pour extirper les corrompus.
Le maroc est un beau pays où il y a du travail, mieux encore l'économie de ce pays continue à attirer les investissements extérieurs dont notamment le projets allemand de développement des énergies renouvelables dotes de plusieurs centaines de millions d'euros.La Tunisie de son conté fait confiance à un parlement qui ronfle carrément et qui n'a aucun sens des priorités: ainsi on vote pour l'élection d'une instance nationale de lutte contre la torture au lieu d'accélérer la lecture des projets de lois en rapport avec les projets bloqués notamment ceux ayant un impact directs sur l'emploi (ceci est plus important que cela au regard de certains).
400 hommes d'affaires tunisiens seraient partis au maroc depuis la révolution et le résultat pourrait être une catastrophe pour l'économie tunisienne particulièrement si les grands groups tunisiens commencent à regarder de ce coté là du maghreb alors où va le monde ? Mais ce choix est compréhensible dans la mesure où le maroc est un pays stable en sécurité et où il existe des facilitations administratives et autres avantages financiers (suffisant pour attirer des groupes désireux faire fortune).
Depuis l'indépendance, la Tunisie a suivi une politique d'ouverture économique sur des étapes mais peine actuellement à sortir de la crise. Alors y-t-il un sauveur ?
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