vendredi 25 mars 2016

Sous-culture professionnelle...

Qu'est ce qu'on dort bien dans les grandes entreprises tunisiennes (et même les petites). Du moment que le pdg est absent et que le dga est trop ocupé, on fait ce qu'on veut. C'est une question d'honnêteté intellectuelle que d'avouer la chose suivante : les salariés ne travaillent pas assez. Enfin... tout le monde n'est pas classé à la même enseigne, on n'est pas payé de la même façon en fonction de l'effort fourni.
Dans le privé, à l'instar du public, les gens dans les bureaux, passent leur temps à discuter de tout et de rien, à parler du déjeuner, des faits divers et de l'ambiance au travail. Justement, quand est ce qu'on parle travail ? Peut être s'agit-il d'une sous culture d'entreprise, bien enracinée, mais les rapports humains priment sur les rapports professionnels . On ne travaille pas ou mal avec les gens que nous n'aimons pas.
Seulement, un réflexe subsiste au sein de nos entreprises: la solidarité avec les collégues. Il faut s'entraider en tout état de cause. Lorsqu'il n'existe pas de syndicat au sein de l'entreprise, le patron devient le centre de toutes les tensions et son influence devient critique dans la conduite de l'organisation vers la réalisation de ses objetifs.
Gare au désordre, gare à la cacophonie vont répéter les patrons, souvent mal compris par leurs salariés, mais qui sert vraiment de modèle ?

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